L’évènement sans doute le plus attendu des réalisateurs et réalisatrices est enfin arrivé ! Pour cette douzième édition des rencontres documentaires du Ciné Toboggan, quinze films documentaires ont étés sélectionnés, dont sept avant-premières et deux inédits.
Le cinéma au devant de la scène
Vive le 7ème art ! Pour ouvrir notre regard sur le monde, le festival vous invite à prendre part aux débats, concerts, avant-premières, films… et bien entendu des exclusivités. On vous raconte tout !
Guettez avec ferveur et attention par les connaisseurs et amateurs du Ciné Toboggan, l’art cinématographique est lui aussi un moyen de communication. Et pour cause ? Les réalisatrices, cette fois-ci plus nombreuses que les réalisateurs, savent apporter une valeur artistique et informationnelle à leur travail, en posant un regard singulier sur l’avenir de la planète. Il n’est pas sans dire que le phénomène d’influence du cinéma peut impacter plusieurs facettes de notre vie quotidienne et du monde dans lequel nous vivons, tel que notre manière de penser par exemple. Certes, nous allons au cinéma pour nous divertir, mais aussi pour mettre une parenthèse dans notre vie de tous les jours, en plongeant tête baissée dans un univers de fiction qui illuminera notre quotidien !
Plein phare sur les évènements
Ouvert aux publics les plus divers, on ouvre le bal le mardi 21 mars à 18h en suivant l’avant-première de « Low Tech« , une démarche écologique et locale qui consiste à concevoir ou à diffuser des techniques et des savoir-faire simples, durables et accessibles à tous. Le réalisateur Adrien Bellay interroge, avec son nouveau documentaire, notre rôle de citoyen dans un monde qui se heurte aux limites de la croissance. « L’idée est de faire un film choral qui dresse le portrait de celles et ceux qui font la low-tech dans des domaines variés, ce qui m’a conduit à la rencontre des gens sur le terrain, » évoque le réalisateur. Le festival se poursuit avec la rencontre « We are coming » aux côtés de la réalisatrice Nina Faure, le jeudi 23 mars à 20h15 et samedi 25 mars à 15h. Deux amis Nina et Yéléna commence à avoir une prise de conscience sur les enjeux autour du corps, de la sexualité et des rapports de genre. Les deux femmes découvrent un plaisir jusqu’ici insoupçonné, celui de poursuivre une émancipation collective, d’abolir le patriarcat. On y trouve là, la chronique d’une révolution féministe.
Toujours dans une idée féministe, « Mauvaises Filles » d’Emérance Dubas le mercredi 22 mars à 14h30 et le dimanche 26 mars à 14h15. Une adaptation au théâtre de l’histoire de ces femmes pour laquelle, Margot Thery, metteuse en scène du « Cabaret des Indociles« , a mis en lumière leurs textes et leurs témoignages.
Ne ratez pas le film « Silence-Voix de Lisbonne » le samedi 25 mars à 20h, de Judith Kalmar et Céline Coste Carliste. Un documentaire sur le fado, genre musical populaire iconique portugais, et la vie culturelle lisboète. Le film explore la relation des artistes de fado à leur identité culturelle dans un monde en mouvement, alors que les chansons font écho aux histoires de vie qui traversent le film. Petite précision, la rencontre sera avec les protagonistes du film, Marta Miranda, Jean Marc Pablo et Luis Guimarães.
A l’occasion de ce samedi dédié au Fado, l’artiste portugaise Marta Miranda proposera son spectacle « Fadiagens-Vozes de Lisboa« ! Un concert où la musicienne cherche constamment à créer du lien et des rencontres au travers de la musique et de la scène. Elle sera accompagné de ses partenaires Jean Marc Pablo, à la contrebasse ainsi que de Luis Guimarães à la guitare classique. Le trio se produira aux alentours de 21h30. Le lendemain, les documentaires continuent avec de nombreuses rencontres suivies d’un pot offert dans le hall du Toboggan, pour clôturer le festival. Retrouvez ICI plus de détails sur les différentes œuvres à l’affiche de cette douzième édition des écrans du DOC.
Et ce n’est pas tout, on vous offre des places à dégoter ICI, en jouant avec le mot de passe disponible sur la Page Facebook Nova Aime.