Une chronique de Maxime Gueugneau
Maxime a eu vent du fait que les vainqueurs écrivent l’histoire. Tant mieux, puisqu’il est l’un deux, comme en témoigne sa récente médaille d’or au JO d’hiver. Pourtant, il semble bien que le récit des vaincus soient souvent plus intéressant, comme le prouve Tom Gauld dans son Goliath, récemment traduit en français chez 2024.