Du 6 au 10 décembre, musique, danse, vidéo, performances, cinéma et mode dans une symphonie d’images et de son
Il était des nuits, au cœur de la ville, à Paris. Un lieu magique où les cultures arabes se mêlent en un tourbillon de créativité et de diversité. Cet endroit, c’est l’Institut du Monde Arabe. Et en décembre, quelque chose d’extraordinaire se prépare : « L’IMA fait son festival ! ». Du 6 au 10 décembre. Imaginez-vous : musique, danse, vidéo, performances, cinéma et mode se mêlant dans une symphonie d’images et de son.
Des artistes incroyables se préparent à faire vibrer les murs de cet endroit magique. Khalil Epi, par exemple, promet une expérience électrisante avec ses interprétations électroniques de musiques traditionnelles. On chuchote qu’il crée une immersion totale, fusionnant musique électronique et vidéo, un voyage captivant à travers la Tunisie.
Et puis, il y a Dominique Dalcan, qui transporte les visiteur‧euses dans un univers émotionnel. Son installation hybride, « Last Night A Woman Saved My Life », est une œuvre touchante sur l’exil et l’appartenance. Il partage des histoires poignantes de femmes du Liban.
Mais le clou de cette folle semaine, le samedi 9 décembre, la grosse fête où l’Institut du Monde Arabe se transforme en un club électro. Le collectif « Musiques de fête » et KasbaH, ce groupe électro venu tout droit du Maghreb, enflammera la salle hypostyle au niveau -2. Les sons électro du Maghreb et du Moyen-Orient fusionnent pour créer une nuit de transe. Les nuits de L’Institut du Monde Arabe, du 6 au 10 décembre, ça promet. Le programme complet est à retrouver ici.