Rendez-vous en bas, au coin de ta rue, dans ton rade préféré, ta salle de concert adorée, ta galerie chérie. Rendez-vous en bas parce que c’est aussi là qu’est la vie. En bas de chez toi, et tout en bas de l’hexagone au pied de la Grande Bleue, à Marseille et dans les environs. Rendez-vous en bas parce que c’est là qu’est secouée la pulpe !
Mercredi 20 :
L’heure de la release party pour MC Sirop à Hypérion. MC à l’ancienne qui n’a pas oublié les fondamentaux du hip-hop à savoir « love, unity & having fun », MC Sirop déroule sur A l’Antique, son nouvel opus des textes consciouset sensibles, « vecteurs de joie et d’idées » comme le précise l’argumentaire de ce nouvel opus célèbré ce soir lors d’une soirée au Studio 27, quelques jours seulement après avoir assuré la première partie d’MC Solaar, à Paloma, la salle nimoise. Lors de concert, le MC Marseillais se présentait seul avec ses machines. Au Studio 27, ce soir, il sera entouré de son groupe (Camille Thouvenot aux claviers, Grégory d’Addario à la batterie et Thomas Lafont à la basse) avec qui il a enregistré ces 5 titres. (Dès 19h au Studio 27 — 27 rue … — 13001 — 10 € + 10 € d’adhésion annuelle.)
Walter Astral, invité du festival Avec Le Temps se pose en douceur au Makeda. « Walter Astral est un duo parisien qui explore le multivers » précise le dossier de presse. Leur musique se confronte aux limites des genres, « flirtant avec le fantastique entre esprit tech et rock psyché analo » comme ils disent en interview. Rythmés par un pied droit, leurs tracks foncent vers des multivers qui n’ont rien de solitaires. (A 20h30 au Makeda — 103, rue Ferrari — 13005 — 20 €.).
Jeudi 21 :
Newroz Marseille, le festival des cultures kurdes démarre ce soir jusqu’à Dimanche. C’est à la Mairie du 2ème et 3ème ardt de Marseille qu’est inauguré cette deuxième édition du Festival Newroz Marseille. En kurde, une langue parlée par environ 60 millions de personnes, newroz signifie le jour nouveau et qualifie le premier jour du printemps. Le jour nouveau, du renouveau, un jour rituellement célébré par les communautés kurdes d’Iran, de Turquie, d’Irak, de Syrie et dans les diasporas à travers le monde. Un peuple sans pays donc, mais pas sans histoire et sans revendication. La communauté kurde à Marseille, la deuxième en France après Paris, est estimée à 15.000 âmes majoritairement originaire de Turquie, pays où leur présence n’est pas souhaités et où ils sont pourchassés. Cette célébration saisonnière correspond qui plus est à l’appel à l’insurrection de Kawa le Forgeron qui avait il y a plusieurs siècles, contré les projets tyranniques de Dehak, un roi de Mésopotamie que Kawa avait fini par tuer. Moment fort donc, ce Newroz 2024 s’ouvre par Qui parle de l’ombre dit vrai de la photographe Laure Degras. Cette expo réunit 24 portraits de détenus politiques kurdes, des avocat.e.s, étudiant.e.s, des journalistes, des militant.e.s mais aussi un chirurgien, un musicien ou une mère de famille, victimes le plus souvent d’une justice partiale, arbitraire. Le vernissage sera naturellement accompagné de musiques issus des folklore kurdes et de spécialités culinaires. (A 18h30 à la Mairie des 2ème et 3ème arrondissements — 2, place de la Major — 13002 — Entrée libre.).
Une fin de semaine chargée pour DJ Oil qui commence ce soir. Il n’est plus aussi Marseillais qu’il l’a été, ou plus de la même manière. Mais il revient toujours à Marseille, parce que c’est sa ville, qu’il l’aime et la déteste comme tout bon Marseillais. Parce qu’il ne comprend pas que parfois, elle préfère continuer à marcher sur la tête ou à se laisser endormir par des hommes, des femmes qui placent leurs avantages et privilèges avant le bon fonctionnement de la cité. Un travers et des habitudes qui ne sont pas que marseillais, même qui ici, sous un fort mistral peut-être, balaie tout. DJ Oil est là — 4 sets et des balèzes en trois jours, belle perf’ — et on ne va pas l’embêter avec des sujets qui fâchent, il n’a pas besoin de nous. Pour sa première date du week-end, Lionel aka DJ Oil nous donne à découvrir un nouveau lieu : Le bouge. Cette taverne qui a installé ses futs, tonneaux et bonnes bouteilles au premier étage de l’ancienne maison de l’Artisanat et des Métiers d’Arts sur le cours d’Estienne d’Orves, est désormais ouverte du mardi matin au dimanche aprem, dès 10h et jusqu’à minuit en semaines et 2h du mat les jeudi, vendredi et samedi. DJ Oil prend avec l’exigence qu’on lui connait les commandes des platines et du système son avec un mix à grande focale : musiques afro-américaines et musiques électroniques. (Dès 19h au Bouge — 21, cours d’Estienne d’Orves — 13001 — Entrée libre.).
C’est la Fête du Court ce soir à la Baleine. Pour cette Fête du Court Métrage, le cinéma du cours Ju’ donne une carte blanche à l’AARSE, comprendre l’Association des Auteurs.trices Réalisateurs.trices du Sud-Est. 4 courts récents réalisés par des membres de l’asso sont programmés : Les Voix de Passage de Juliette Daroussin (un documentaire de 23’), Narcisse de Samuel Bester (film expérimental de 12’), Continûment Occupé des Choses de l’amour de Florence Pazzottu (un documentaire de 30’) et Comme un Oiseau dans l’Eau de Hector di Napoli (une fiction de 21’). Ce film propose une narration elliptique. En effet, un musicien mi-homme, mi-oiseau fait le buzz sur la toile à l’insu de son plein gré. Un manager, un as du marketing, lui propose un deal afin de pérenniser son envol. Ainsi, sans rien divulgâcher, il vivra comme un oiseau dans l’eau. (Début de la séance à 20h30 à la Baleine — 59, cours Julien — 13006 — 4,5 €.).
Vendredi 22 :
Projection de 9 jours à Raqqa au Gyptis dans le cadre du Festival Newroz Marseille. Premier film de la trilogie La Vie après Daech, 9 jours à Raqqa est un film documentaire réalisé par Xavier de Lauzannequi s’intéresse au destin de la jeune maire de Raqqa, l’ancienne capitale autoproclamée de l’état islamique en Syrie. Leila Mustapha, c’est son nom a 30 ans. Ingénieure en génie civil, trois fois major de sa promotion, elle a pour mission de reconstruire la ville en ruines après la guerre, de réconcilier ses habitants et d’y instaurer la démocratie. Une mission hors normes, dans un monde d’hommes, qui plus est. Une écrivaine française traverse l’Irak et la Syrie pour venir à sa rencontre. Elle va dans cette ville encore dangereuse, partager 9 jours de sa vie et tenter de découvrir son histoire. Le film sera suivi d’un échange. (A 19h30 au Gyptis — 136, rue Loubon — 13003 — Tarif plein : 7 €, reduit : 6 €.).
Autre invitation du festival Avec Le Temps au Makeda : Nayra et Lynn partage l’affiche. Française aux origines berbères, la Dionysienne Nayra réunit toutes les facettes de son identité multiple dans ses musiques comme dans ses textes rappés et chantés en français, amazigh et arabe. Auteure et compositrice, fan de musique électronique, Nayra est passée par La Nouvelle Ecole, le télé-crochet proposé par Netflix. Son élimination au tout début de la deuxième saison, a fédéré autour d’elle, nombre de spectateurs.trices dégouté.es par cette injustice à leurs yeux. Ils, elles sont devenu.es de fait, ses plus grand.es fans. Lynn, elle, a muri au sein du collectif iXi (Gracy Hopkins, Tices…) depuis son adolescence, un son plus souple teinté de soul, bossa et r&b, sur lequel se posent comme des caresses, des textes en français et anglais. (Dès 20h au Makeda — 103, rue Ferrari — 13005 — 12€ sur place, 10 € en prévente.).
DJ Oil passe par la Dame du Mont. Après le Bouge hier, DJ Oil attaque sa soirée aux platines de la Dame du Mont, un bar comme il y en a beaucoup ici tout en profondeur. On y passe. On y repasse et on y reste quand Oil ou d’autres régalent aux platines. Ce soir, le DJ et producteur dessinent le continent africain en musiques. Quand son mix touchera à sa fin, il s’empressera de plier ses gaules comme disent les pêcheurs. Direction la Dancetaria ! La suite plus bas ! (Des 21h 30 à la fermeture à La Dame du Mont —30 place N-D du Mont — 13006 — Entrée libre
Say My Name, la soirée r’n’b revient au Makeda. 30 ans de r’n’b en une nuit, des années 90 à nos jours. Aux platines : Thug Dance (Cuff/Marseille ) et DJ Soon qui depuis tout juste 30 ans conjugue hip-hop et r’n’b ici, dans l’hexagone et même au-delà de nos frontières. (De 23h à 3h30 au Makeda — 103, rue Ferrari — 13005 — 10€ sur place, 8 € en prévente.).
Fin de nuit à Dancetaria pour DJ Oil. Une nuit Oil. C’est ce que DJ et producteur te propose. Un marathon aux platines qui a commencé un peu plus tôt à la Dame du Mont et se poursuit aux platines de la Dancet’ quand on est habitué à finir ses nuits aux petites heures dans ce club qui fait face à l’Opéra. Chris Gavin aura chauffé les platines avant l’arrivée vers 2h30 du señor Lionel (Dès minuit… et jusqu’à 7 du mat à Dancetaria — 18, rue Saint-Saens — 13001 Marseille — Entrée libre.).
Samedi 23 :
« Quand le vin est tiré, il faut le boire » aime-t-on à répéter au Makeda avant d’accueillir Aupinard. Le duo de princesses à la tête du Makeda visaient le vin sur vin sur ce concert d’Aupinard, Elles ont réussi leur pari. C’est complet. Il faut dire que la musique urbaine teintée de bossa nova souple et enchanteresse de ce chaleureux MC bordelais au flow plus frais qu’une cascade de glaçons, fédère. Yohann Opina de son vrai nom a choisi se blaze totalement décalé comme un clin d’œil à sa ville — Bordeaux — et par gout du contrepied. Ne pas être où on l’attend est un plaisir pour lui. Il pourrait être un fabuleux tireur de penalty, de ceux dont on pense qu’il va tirer à gauche et qui prend un malin plaisir à loger le ballon dans la lucarne droite. Il kiffe les grands de la bossa au Brésil (Joao Gilberto,Vinicius de Moraes…) et ceux qui l’ont jouée, diffusée dans l’hexagone (Pierre Barouh, Henri Salvador…). Il a déjà commercialisé Hortensia, un premier E.P. déjà disponible en vinyle et sur les plateformes, et prépare son premier album. (Dès 19h30 au Makeda — 103, rue Ferrari — 13005 — c’est complet.).
L’Homme tempéré, un spectacle d’Elie Guillou. Programmé dans le cadre de la 2ème édition di Festival Newroz Inspiré par ses voyages dans les régions kurdes de Turquie, d’Irak et de Syrie, l’Homme Tempéré, dernier livre du comédien, metteur en scène et écrivain Elie Guillou relate sa rencontre avec le peuple kurde, la cause kurde devrait-on même dire, tant ses écrits pointent les périls auquels sont confrontés ce peuple sans pays, un peuple qui garde la tête haute en toute circonstance. Cette constance face aux risques de génocide ethnique, culturel et linguistique aprovoqué en lui un besoin de témoigner, nécessité militante, certes mais aussi artistique. Après le livre dans lequel il relate ce voyage et la triste réalité à laquelle il est confronté, il a senti le besoin d’exprimer sa solidarité autrement que sous les formes habituelles de manifestations. C’est ainsi qu’il a conçu ce spectacle qui lui permet de revenir sur ce road trip d’un genre particulier, racontant certains épisodes cuisants, mais aussi cherchant par le chant par exemple, à partager guitare en bandoulière, ses émotions, et soutenus par des enregistrements en kurde, en arménien ou en turc. Une approche sensible d’un conflit dont on ne perçoit malheureusement pas l’issue dans les mois à venir. (A 20h aux Plateaux de la Friche la Belle de Mai — 41, rue Jobin — 13003 — 10 €.).
L’Afrobeat Kollectif est de sortie et c’est au Molotov, son Shrine à lui, qu’ça se passe. Si ces 22 musiciens ne s’interdisent pas de jouer ailleurs les titres du maitre Fela, ils passent au moins une fois par an minimum au Molotov, son club de prédilection, son Shrine comme je balance avec un peu de légèreté dans le titre, en référence au club de Fela Kuti dont ils jouent la musique. 22 musiciens dont une forte proportion de cuivres, car c’est aussi ça l’afrobeat, un son puissant, une énergie, une transe qui te porte, te transporte jusqu’au bout de la nuit, un bout qui, malheureusement ne peut aller au Molotov au-delà de 2 du mat. C’est pourquoi, ils attaquent à 20h30. Si tu veux profiter pleinement de cette célébration, dont be late ! (Dès 20h30 au Molotov — 3, place Paul Cezanne — 13006 — 5 €.).
Soul Train au Makeda. L’arrêt en gare est mensuel, et à chaque fois, Selecter The Punisher, ses guests et tous les dingos de soul, funk, hip-hop, disco, house et consorts sont au rendez-vous de cet hommage à l’émission de Don Cornelius avec déco et projo. (De 23h à 3h30 au Makeda — 103, rue Ferrari — 13005 — 10€ sur place, 8 € en prévente.).
DJ Oil boucle son week-end marseillais à Vice Versa avec une soirée Disco Mirror. La cave qui a abritée les folles nuits latines à la fin du siècle dernier, avant de devenir le spot des amoureux de la sono mondiale et du groove a upgradé son système son, et son standing, imposant comme une des places courues des débuts de soirées phocéennes (jusqu’à 4 du mat tout de même le week-end). C’est là une fois passé, façon Zorro, la porte camouflée en journée par une bibliothèque que le danseur, la danseuse a accès à l’escalier qui le, la conduira jusqu’au dancefloor. Après chacun fait fait fait comme il lui plait. Avec Oil, le tonton des nuits marseillaises aux commandes, pas de doute que chacun va pouvoir tranquillement et tout en finesse, transpirer. (De minuit à 4 du mat au Vice Versa — 40, rue des Trois Rois — 13006 — Entrée libre.).
Dimanche 24 :
Un blind-test avec orchestre au Pasino d’Aix-en-Pro. Forcément un peu dingo, ce blind-test en fin d’aprem, pour fans de musiques de film puisque orchestré par l’Ensemble Musical du Sud, fort d’une cinquantaine de musiciens, qui interpréteront lors de ce concert, une centaine de thèmes de musiques de films, de séries TV, de dessins animés, de films d’animations et de jeux vidéo. Révisez vos classiques et minuisiez vous de votre smartphone pour jouer d’autant que le French Geek Movement met en jeu des lots pour un millier d’euro et proposera des quizz thématiques. (A 17h au Pasino — 21, av de l’Europe — Aix-en-Pro’ — 24 € via helloasso, tarif réduit : 19 €, groupe de plus 20 personnes : 17 €.).
Eléonore Fourniau en concert pour la clôture de Newroz Marseille. Même si newroz signifie jour nouveau, l’heure de la dernière programmation de cette deuxième édition du festival culturel kurde a bel et bien sonné avec le concert en quintette, de la chanteuse et joueuse de vielle à roue Eléonore Fourniau. Cette Française partie il ya quelques années, se familiariser avec les musiques turques au Conservatoire d’Istambul, a rencontré là-bas des musiciens kurdes avec qui elle a joué et chanté, développant de fait répertoire à double entrée. Disponible pour la toute première fois lors de ce concert, son premier album s’intitule Neymik (Miroir en français). Ce va et vient permanent entre les deux cultures compose la richesse de son répertoire et de son expression. Elle peut ainsi comme elle dit « chanter en turc auprès des kurdes, et dans les différents dialectes kurdes auprès des Turcs. ». C’est son utopie, une utopie qu’elle fera vivre ce soir encore, accompagnée par un ensemble d’exception au sein duquel on retrouve le souffleur, breton comme elle, Sylvain Barou aux flûtes, duduk et zurna, le percussionniste spécialiste des musiques des Balkans, Ersoj Kazimov, le bassiste franco-turc Emrah Kaptan et le guitariste Pierre Clavé qui s’est formé au buzuq et au oud sur le tard, après sa majorité, sans que cela ne lui fasse handicap. (Dès 19h au Petit Plateau de la Friche la Belle de Mai — 41, rue Jobin — 13003 — 15 €.).
Lundi 25 :
Soso Maness, les 4 épi’ de sa série au Ciné-Club Rebetiko. Cette troisième séance du cycle consacré par le Ciné-Club Rebetiko aux films guérilla 100% marseillais, « aux films indépendants d’ici, réalisés avec des budgets riquiquis et des envies maousse-costauds » comme on dit chez Unilever, voit défiler sur l’écran posé chez Urban Prod par le Ciné-Club Rebetiko, les 4 épisodes de la série écrite par Soso Maness et co-réalisées par Julio Iborra et Katim Saidi : Le vent tourne (2019), Le sang appelle le sang (2020), Avec le temps (2021), A l’aube / Crépuscule (2022). Ces 4 fictions guérilla avec Soso à l’image, du pied des tours aux villas avec piscine, « dans l’illégal » racontent le réel, un réel que le rappeur qui a été au charbon, connait bien. Hasard des calendriers qui fait les choses… bien ou mal, ça c’est une autre histoire, cette séance tombe moins d’une semaine après la visite très médiatisée du PR flanqué de ses ministres, Intérieur et Justice bras dessus bras dessous et de sa secrétaire d’état chargée de la ville et de la citoyenneté. Cette collision temporelle entre deux agendas, un politico-médiatique et un culturel souligne ce choc des mondes, des regards sur le monde, des attentions et des intentions, des aspirations et des ascensions. Une série qui témoigne, raconte notre société, notre démocratie et ses points noirs. Cette projection sera précédée par celle du court métrage Saint Laurent (The Last Day) réalisé en solo par Julio Iborra en 2023 et dont le synopsis, précis et concis, — « Le dernier jour d’Idir, jeune Marseillais des Quartiers Nord » — peut laisser deviner plus d’un déroulé possible. Un débat avec les deux réalisateurs et des membres de leur équipe rend indispensable ta présence à cette projection qui peut, pour la série en tout cas, déjà être visionnée sur le petit écran de ton ordi, la lucarne de ton téléphone. (Dès 19h, projection à 20h chez Urban Prod — 18, rue Colbert — 13001 — Attention, jauge limitée à une soixantaine de places, les premiers arrivés sont les premiers assis. — Entrée libre.).
Mercredi 27 :
L’heure de la grande finale du 14ème tremplin Orizon Sud à sonner ! Au commencement, ils étaient un moulon. Fin février, ils étaient encore une dizaine. Ce soir, ils ne sont plus que 4 pour la grande finale du Tremplin Orizon Sud. Sacré parcours ! Chaque band aura 30 mn pour convaincre et décrocher le pompon. Alors que tu sois de parti-pris, genre tes potes sont sur scène ou que tu sois là pour te laisser embarquer par l’une de ces 4 formations, n’en connaissant aucune, c’est ta soirée et elle t’est offerte. Et oui, c’est gratuit ! En plus du jury de pros de la profession qui désignera la formation qui remportera le gros lot, le public votera aussi ! Vraiment tu ne vas pas perdre ton temps. (Dès 19h30 au Makeda — 103, rue Ferrari — 13005 — C’est gratuit ! Réservation obligatoire ici.).