Brain raconte les dernières heures du génie américain.
Hier et avant-hier, on fêtait l’anniversaire de la naissance et de la mort de Marvin Gaye, et ça a été l’occasion pour beaucoup de médias de se souvenir des derniers mois de la vie du mythique musicien, qui ont eu lieu à des milliers de kilomètres de sa ville natale – à Ostende, en Belgique, 70 000 habitants et une longue plage. On a souvent raconté pourquoi Marvin Gaye, criblé de dettes, en conflit avec son label La Motown, épuisé par les tournées, par la drogue, par les femmes, avait choisi de se réfugier là où rien ne l’attendait. Mais dans deux articles parus ces dernières heures, on comprend mieux pourquoi.
D’abord dans Brain, on apprend qu’il a trouvé un certain confort, loin du luxe et des fastes. Que la Belgique lui a assuré une certaine sérénité, et un air marin qui lui a tout bêtement fait du bien. D’ailleurs, il trouvera l’inspiration pour y composer son dernier album – Midnight Love –, sur lequel figure son immense tube « Sexual Healing ». Sur Brain, on apprend également que le chanteur Arno, par exemple, avait était engagé pour lui faire la cuisine (!), qu’il logeait chez un certain Freddy Couseart.
Et pour aller plus loin, il y a un autre article dans La Voix du Nord – qui revisite les lieux où Marvin Gaye a vécu. Là où la légende jouait du basket, là où il se désaltérait après son jogging etc. Deux articles à lire en ligne et qui nous confirment que Marvin Gaye n’était clairement pas un artiste comme les autres.
Toutes les semaines dans Bam Bam, Sophie Marchand et Jean Morel vous proposent l’hymne d’un week-end.