Mais avec La Dernière artiste soviétique de Victoria Lomasko, ba ça va mieux.
Maxime s’est aperçu que si le monde ne l’aimait pas, c’est parce que c’était un con, qu’il ne s’intéressait à rien, qu’il n’aimait personne et qu’il ne sortait pas de chez lui.
Il a trouvé la parade en s’intéressant au livre La Dernière artiste soviétique de Victoria Lomasko, périple d’une artiste russe au sein des anciennes républiques de l’URSS, sorti chez The Hoochie Coochie.