En partie grâce à « William Heath Robinson Vol 1 » chez Monts Métallifères
Maxime est très fier de lui car il est parvenu à écrire sa chronique plus vite que la lumière.
Son secret ? La technologie et l’intelligence artificielle, bien plus efficace que les ghostwriters qu’il utilisait jusqu’alors.
Un technosolutionnisme qui lui rappelle les dessins absurdes de William Heath Robinson dont une anthologie a paru aux éditions Monts Métallifères.