Un jeudi entièrement consacré à deux groupes de musiques incontournables de la sono mondiale à Lyon !
Une soirée où la transe prendra part, vous serez potentiellement aspirés dans une tornade de groove, de sonorités traditionnelles ! Un voyage dans le temps aussi, où Mazalda vous propulsera dans le raï funk psychédélique des seventies, et Parranda La Cruz vous transportera avec les polyphonies et percussions de la mer caraïbe et de l’océan indien.
Mazalda est composé de musiciens aguerris, qui de par leur expérience en termes de styles et de scènes varié.e.s, s’inspirent de presque toutes les époques contemporaines et de tous les milieux urbains. Après plusieurs tournée, c’est aux côté du chanteur de raï algérien Sofiane Saidi qu’ils sont révélés au grand public. Mazalda s’apparente à un laboratoire sonore, en perpétuel mouvement. Sur fond de funk prog tropicale synthétique, la formation apporte des éléments magiques à base de groove psyché, de soul, de rock et de raï…vous ne serez que comblez ! Le groupe revient cette année avec un nouvel album du nom de « Special Key » prévu fin mai. Mazalda est vu comme une véritable machine à danser et à voyager dans les labyrinthes sinueux et déroutants des musiques sans frontières, autant vous dire que le Marché Gare risque de s’en souvenir !
Aux côtés de Parranda La Cruz
Dans le creuset d’un folklore international pensé par des artistes aux racines bien ancrées et aux cimes
offertes à tous les vents, il y a Parranda La Cruz. Formation née de la rencontre entre Margaux Delatour, Luc Moindranzé et David Doris, trois membres du groupe maloya rhodanien Ti’Kaniki, avec la chanteuse vénézuelienne Rebecca Roger Cruz (lead’ de AA’IN et Pambelé). Avec leur EP « Aguacero » et leur premier album éponyme, le groupe reste solidement relié à l’essence même de sa musique hybride et de cultures qui en assurent la fondation. Entre la côte caribéenne du Vénézuela et La Réunion, le quartet fait émerger chant et percussions en symbiose totale. Ensemble, ils créent un tourbillon sonore qui même habilement rythmes ancestraux et approches modernes, le quotidien et l’exceptionnel, le naturel et le spirituel, le corps et le cœur…
Parranda La Cruz allume son propre brasier en frottant les percussions afro-vénézuéliennes culo e’puyas, cumacos et quitiplás avec les rhythmiques du maloya portées par les kayambs et roulèrs… Le groupe se voit être un phénomène, en particulier dans l’espace Afro-Atlantique, lieu de mémoires et de créations musicales intemporelles.
Un concert qui promet d’être chaleureux ! En plus de ça, on vous offre des places ICI en jouant sur la page Facebook Nova Aime.