Du western au documentaire animalier, le réalisateur le moins connu de la Nouvelle Vague est l’un des plus prolifiques, avec un regard sur le monde aussi amusé que sociologique.
Vous l’avez entendu dans la matinale de Radio Nova, Luc Moullet est un cas particulier. Le moins connu des réalisateurs de la Nouvelle Vague est pourtant l’un de ses cinéastes les plus prolifiques, pour des dizaines de courts et longs métrages, moissonnant les genres les plus variés, du western au documentaire animalier, pour un regard sur le monde aussi amusé que sociologique. Un univers foisonnant, à mi-chemin entre loufoque et contestataire, lucidité et absurdité, rassemblée dans une rétrospective, bien nommée Moullet Jeunesse, puisqu’à 87 ans, ce réalisateur n’a rien perdu de son sens de l’observation, ni de sa cinéphilie. D’ailleurs, s’il est un homme de cinéma, c’est sans doute autant par son travail, qu’au sens littéral, quand les films ont participé à sa construction.
La voici, la voilà, l’interview en version longue !
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