On a parié sur ce producteur, DJ et grand passeur pour l’année 2021, dont l’album arrive en mars.
Producteur pour Snoop Dogg ou pour Ja Rule, signé sur le label d’Idris Elba, fils de Manu Dibango… depuis quelques mois, on a parié pour 2021 sur James BKS, et sur sa pop teintée de hip-hop, de percussions afro, et d’une pluralité exprimée au sein de notre programme Des lives en été, nos concerts intimes en direct de la radio proposées au mois de juillet dernier.
James BKS en live chez Nova, James BKS joué sur cette antenne, et James BKS dont on vous diffuse aujourd’hui le nouveau clip, celui du morceau « No unga bunga », nouvelle manifestation d’un métissage certain, celui qui relie ses racines africaines et ses influences hip-hop qu’il revendique clairement. Sur ce morceau qui réchauffera, où que vous vous trouviez, vos environs les plus proches, un sample de « Dust A Sound Boy », le classique de Super Beagle, circule en boucle. Le texte, lui, évoque une certaine idée de la confiance que l’on peut avoir en soi-même, l’héritage que l’on tient des ainées, et le chagrin qui module les humeurs. Celui qu’a occasionné, pour James BKS, la perte de son père Manu Dibango cet été ?
« Cette chanson parle de moi embrassant mon chemin, et peu importe la longueur ou la difficulté du chemin du succès. ‘No Unga Bunga’ parle du patrimoine, non pas des choses matérielles mais de ce qui est vraiment significatif et précieux : l’éducation, l’amour, les leçons, les conseils, le temps », dit James BKS à propos de ce morceau dont le clip est signé Mahine Sef. Un clip où apparaissent ke champion de France de Krump, Luka Austin, le mannequin sénégalais Mame-Anta Wade (Fenty, YSL) et le danseur et contorsionniste guinéen Abdoulaye Keita.
« No unga bunga » est le premier extrait d’un album que James BKS fera paraître, si la planète n’impose pas d’ici là, au mois de mars prochain.
Visuel © pochette de No unga bunga de James BKS