La semaine dernière, on vous parlait sur Nova de la mythique DJ Palestinienne qui a fait émerger la techno en Palestine, Sama’ Abdulhadi. Ce week-end, elle était à la Peacock Society Festival, le rendez-vous des raveurs parisiens, tout comme Teki Latex, un habitué de chez Nova. Et ça tombe bien, car Siam Catrain et Léna Gandrey y sont allés et l’ont rencontré pour vous.
Né le en 2013 à l’initiative des collectifs We Love Art et Savoir Faire, la société des paons revient chaque année pour se pavaner. Difficile de faire autrement quand on voit la qualité et le prestige des reusta qui s’y succèdent depuis 11 ans.
Cette année, la Peacock quitte le parc de Choisy pour investir la warehouse du parc floral de Paris. Le line-up n’a encore pas déçu avec en tête d’affiche Horse girl, Sama’ Abdulhadi, Jersey, Jyoty et Interplanetary Criminal.
Mais celui que tout le monde attendait, c’est Skrillex qui a montré une fois de plus qu’il est un vrai magicien. En l’espace d’1h30, entre kick et drop, il aura réussi à faire monter la température du hangar d’au moins 20 degrés.
Après ce set bouillant, Nova s’est baladé et sur le trajet, on a croisé un régulier de Nova, Teki Latex. Arrivé à l’ouverture des portes du festival, il est venu prendre la température pour se mettre déjà dans l’ambiance.
Julien Pradeyrol dit Teki Latek est derrière les platines depuis la fin des années 1990. Précurseurs de la ghetto tech en France, c’est pourtant la première fois qu’on le voit apparaître sur l’affiche de la Peacock.
Mission accomplie pour Teki et pour fêter ça, on lui a laissé le mot de la fin.