Le fils de Fela est sur le point de sortir son dixième album studio.
L’espoir, la réconciliation, et la volonté d’unité pour Femi Kuti, faire-valoir de l’afrobeat moderne et fils du pionnier (Fela Kuti) d’un genre popularisé dans le Nigeria des années 70 et qui consiste en ce mélange de folk nigérian, de jazz, de funk et de highlife. C’est le message, plein d’un espoir humaniste, que souhaite transmettre le Nigérian avec la sortie de ce dixième album studio (son premier album sortait en 1989), One People, One World, qui arrive le 23 février chez Partisan / Knitting Factory.
« One World », le premier extrait clipé de ce nouveau disque que l’on annonce de retour aux « racines africaines de la musique, avec des notes de reggae, de highlife, de soul, de R&B et d’autres saveurs africaines, caribéennes et afro-américaines », est un pur morceau d’afrobeat qui conforte, si cela était encore nécessaire, les vertus philanthropes et politiques (comme son père avant lui) de son protagoniste central, lui qui est également, rappelons-le, le porte-parole de l’UNICEF pour la défense des droits des enfants.
Ah tiens, Femi est là aussi, avec Leeroy, pour le clip de « Opposite People ».
Et puis, pour se souvenir d’où vient Femi, souvenons-nous de son père, le grand Fela, récemment raconté par un mix d’Erykah Badu.