Aujourd’hui dans « À Ce Qui Paret », Thierry Paret revient sur l’histoire de la Marseillaise.
À chaque grand événement sportif d’ampleur, type match de l’équipe de France de Football pendant un Euro ou un mondial, c’est le même cinéma. Il y a, au moment des hymnes, celles et ceux qui jugent le notre bien trop guerrier pour daigner se lever et l’entonner, et il y a celles et ceux qui, à contrario se mettent au garde à vous devant leur canapé, et s’époumonent en tentant d’interpréter au milieu des bières, des chips et des cacahuètes de rigueurs, la main sur le cœur, une Marseillaise approximative, voire toute pourrie. En tout cas rarement d’anthologie. Il est temps de remettre les pendules à l’heure, car la Marseillaise n’est peut-être pas celle que vous croyez.
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