A Cambridge, on étudie la fin du monde
C’est une couille pour Armel et moi : des concurrents très sérieux pour le sauvetage du monde ont vu le jour à Cambridge.
En effet, un centre d’étude d’étude des risques existentiels …. c’est à dire en fait un centre de recherche sur la destruction de l’humanité par la technologie. Le centre a été crée par Jaan Tallinn, le co-fondateur de Skype, Martin Rees, professeur de cosmologie et d’astrophysique et Huw Price, professeur de philosophie.qui ont déclaré officiellement :
« Nous devons prendre en compte sérieusement le fait que nous arrivons au point où nos technologies ont le potentiel de menacer nos existences —à un point jamais atteint jusqu’à aujourd’hui dans l’histoire humaine. »
Pire encore, ils tentent de recruter à grand renfort de prestige – Cambridge – et sûrement même d’argent- de grands cerveaux du monde entier. Autant de matière grise perdue pour notre équpe de sauveurs du monde.