Le matériel de pêche constituerait à lui seul environ 10% de la pollution plastique dans les océans avec, chaque année, 640.000 tonnes de filets, de lignes et de pièges en tous genres perdus ou abandonnés dans les fonds marins.
En études d’ingénieur à Lyon, Victor Le Chevalier s’est associé avec deux de ses amis, Jonathan Benguigui et William Fleith, pour concevoir un filet de pêche biodégradable, à base de chanvre. Baptisé « BioNet », ce filet ne mettrait qu’un an à se dégrader en mer, contre 600 ans pour un filet synthétique.