Le Coconut Music Festival revient en septembre. Tournez les serviettes.
Le festival des Noix de Coco a une nouvelle fois lieu dans une ville dans laquelle il en pousse peu, des noix de coco (faites donc un tour dans la jolie ville de Saintes pour le constater via vous-même). Ce point non-essentiel est sans doute le seul sur lequel on se moquera un peu de vous car pour le reste, toutes les promesses qui seront formulées ici sont assurées d’être vraies, absolument vraies.
Alors on vous le dit : il y a peu de chance que vous trouviez, sur le week-end du 9, 10, 11 et 12 septembre (c’est un long week-end) et dans la région de Bordeaux (ou même dans les autres après tout car le train existe) un plan meilleur que vous propose cette année le Coconut Music Festival.
Le ? « Coconut », pour faire plus court. C’est ce festival organisé dans l’Abbaye aux Dames de Saintes (l’une des nombreuses maisons terrestres du Seigneur, effectivement) et où se déroulent chaque année des processions qui n’ont rien à voir avec les cérémonies qui se tenaient jadis ici. Le Coconut, c’est une grande bringue à ciel ouvert, avec la crème de la scène indé (glissez dans le terme les mots pop, électro, hip-hop, R&B, techno, ce que vous voulez) qui se presse pour s’envoyer beaucoup de bonnes ondes et un peu de cognac Schweppes s’il en reste, allez savoir (ce n’est pas notre genre mais peut-être est-ce le genre d’autres).
Au programme de ce festival qui n’a pas pu se tenir en 2020 car vous savez bien il y avait le Coronavirus, les gestes barrières, le gel hydroalcooliques etc. et attention ça décoiffe : Yseult, Bonnie Banane, Malik Djoudi, QuinzeQuinze, ڭليثر Glitter, Meryl, l’Orchestre Tout Puissant Marcel Duchamp, des noms que vous connaissez car vous les avez entendus, vus et peut-être même aimés parfois ou souvent sur Radio Nova qui est heureux, cette année encore, de soutenir ce festival dont on vous reparlera d’ici septembre et où il faut noter que se présenteront aussi Park (François Atlas + Lysistrata), Di-Meh, Rudiger ou même Pa Salieu.