Comme souvent, James Stewart a construit son mix autour d’un morceau qu’il écoute en boucle depuis plusieurs jours, « en mode obsessionnel » comme il le dit si bien. Selon lui, les morceaux lui racontent des histoires, qu’il essaie ensuite de transcrire avec d’autres sons de l’Atlantique Noire, découverts au cours de ses recherches. En tissant des liens entre les genres et les époques, tout en faisant fi des critiques tentant de faire rentrer chaque morceau dans un genre prédéfini. Sortir des cases, tout en respectant le matériel d’origine, c’est le motto de James Stewart, qui nous offre un nouveau mix détonnant pour bouger sur des rythmes afro-descendants !