Légalement, le président russe doit être arrêté dès qu’il pose le pied sur le territoire d’un État ayant ratifié l’accord de Rome. Comme l’Afrique du Sud par exemple.
Le 17 mars dernier, la Cour Pénale Internationale a émis un mandat d’arrêt contre le chef d’État russe.
Dorénavant, si Vladimir Poutine pose le pied, par exemple en Afrique du Sud, un des pays signataires du Statut de Rome (statut qui a fondé la Cour Pénale Internationale), il devrait en théorie être arrêté afin d’être jugé.
Or, qu’est-ce qui est prévu en août dans la Nation arc-en-ciel ? Le sommet des BRICS, groupe de 5 pays dont fait partie la Russie. Et le président sud africain Cyril Ramaphosa compte bien inviter son homologue russe.
Alors c’est bon fin de la guerre ? Poutine bientôt arrêté ? Enfin une bonne nouvelle dans cette actualité grisâtre ? Peut-être pas.
Silouane Bourel vous en dit plus.