Alex Masson
Le cinéma de Philippe Barassat continue à rompre avec les habitudes, en proposant une véritable variation sur un même « t’aime ».
Pour vivre heureux (lors du déconfinement), vivons masqués. Mais plutôt que de demander au gouvernement comment les porter, posons la question aux grandes figures dissimulées du cinéma.
Pour vivre heureux (lors du déconfinement), vivons masqués. Mais plutôt que de demander au gouvernement comment les porter, posons la question aux grandes figures dissimulées du cinéma.
Pour vivre heureux (lors du déconfinement), vivons masqués. Mais plutôt que de demander au gouvernement comment les porter, posons la question aux grandes figures dissimulées du cinéma.
Pour vivre heureux (lors du déconfinement), vivons masqués. Mais plutôt que de demander au gouvernement comment les porter, posons la question aux grandes figures dissimulées du cinéma.
Même quand la Corée du sud sera mise en faillite économique par l’austérité, son cinéma continuera d’être riche en film de genres explosifs.
Une disciple sud-coréenne du Jim Jarmusch bohème des débuts assure que l’enfermement n’est qu’une question de point de vue.
Un court-métrage aussi aérien qu’enchanteur pour dissiper les nuages qui pourraient plomber les mômes confinés.
Une culture ne meurt jamais tant que sa langue reste vivante.