Mumbai, l'histoire d'un club disco ultra select des années 80, le Studio29

Ouvert en 1979 dans l'hôtel Bombay international, qui fait face à la mer d'Arabie, le Studio29 avait pour but de séduire les jeunes branchés et aisés de Bombay.

Naughty By Nature célèbre les 30 ans de leur album « 19 Naughty III »

Hey.. Ho ! Hey.. Ho ! même à l’écrit, ce gimmick est tellement reconnaissable, et si repris, on la doit à trois rappeurs originaire du New Jersey aux US, les Naughty By Nature.

« In the Music… The Village Never Ends » : l’album de Letta Mbulu fête ses 40 ans

Paru en 1983 en Afrique du Sud, alors que son interprète, ne vivait plus sur le territoire depuis 18 ans, « In the Music, The Village Never Ends » l’album de Letta Mbulu.

"C U Girl" de Steve Lacy fête ses 8 ans

Loin de celle qu’il aime, Steve Lacy compose le morceau “C U Girl” lors d’une de ses premières tournées à 16 ans.

« Doug Lazy Getting’Crazy », l’album de Doug Lazy fête ses 34 ans

Un ancien présentateur radio devenu rappeur, Doug Lazy est aussi l’un des pionniers du courant Hip-House.

Direction la périphérie de Genève, à la découverte du Goulet25

Cette semaine dans La Traque, on vous transporte en périphérie de Genève, à Chêne-Bourg, dans les murs du Goulet25.

Le premier album du groupe Architecture In Helsinki, fête ses 20 ans

Édité en 2003, « Fingers Crossed », nous transporte dans les souvenirs de notre enfance.

Les Mahotella Queens fêtent les 46 ans de leur album “Izibani Zomgqashiyo”

Sorti en 1977 sur le Gumba Gumba Label, c’est l’anniversaire du disque d’un groupe que l’on pouvait entendre résonner dans les clubs clandestins de Soweto en Afrique du Sud. Surnommé les Queens, le groupe était composé d’un chanteur à la voix grave (Simon Mahlathini Nkabinde), accompagné de quatre reines (Hilda Tloubatla, Nobesuthu Mbadu et Mildred Mangxola)

Le morceau « Where i'm from », des Digable Planets fête ses 30 ans

Venu des années 90, placé dans un versant atypique du rap à contre-courant de la majorité des hits de l’époque, le groupe New-Yorkais de Brooklyn, Digable Planets était une bulle d’air pour les fatigués de l’esthétique gangsta prédominante.