La crise sur le gâteau
Pendant deux mois, le quotidien des Français a été chamboulé. Pour Côme et Valentin, ça leur a permis de réaliser une chose : leur travail ne convenait plus.
Jean-Pierre Goux, cofondateur de l’ONG écolo One Home souhaite nous faire « réaliser que cette Terre nous aime et qu’on peut l’aimer en retour ».
Anne-Claire Rafflegeau, infirmière, membre du collectif inter-urgences a manifesté hier pour dénoncer « un vrai problème à l'hôpital » et rappeler le gouvernement à ses promesses.
Pour Frédérique Rolet, secrétaire générale du SNES-FSU, syndicat national des enseignants du second degré, la crise a permis de faire « comprendre que tout le monde n’a pas les mêmes conditions de travail » et que cela impact directement l'école.
Mais comment régler celles du présents ? Zéphyr, 20 ans, membre du groupe local Youth For Climate de Toulouse préconise « l’éducation et la sensibilisation ».
Pour Monique Pinçon-Charlot, sociologue et ancienne directrice de recherche au CNRS, il faut « faire preuve de courage pour manifester sa colère dans tous les espaces publics ».
Depuis le confinement, Thierry Imbert, Président de l’association culturelle Chapau Prog réfléchit à l'avenir des artistes et se demande « s'il ne faut pas que la culture soit encore plus proche des gens ».
Paloma, Amelle et Fares sont étudiants et tous les trois en recherche d'un job saisonnier depuis plusieurs mois. Malgré les envois massifs de CV, ils peinent à trouver quelque chose.
Journaliste et membre du SNJ-CGT, syndicat national des journalistes, Jean Tortrat évoque la crise de la presse et le positif que la société peut tirer des crises.