L’Arche de Nova
L’auteur espagnol du « Puits » nous incite à anéantir au plus vite la matrice économique de toutes les inégalités, en déboulonnant au passage les partis d’extrême-droite et les écoles religieuses.
Marocaine et Parisienne, cette poétesse de l’intime suggère aux parents de davantage « daroner en post-tribu », par mutualisation des compétences et des attentions, dans de grandes colocations. Ainsi, « fini l’enfant-roi, la mère poule et le père démissionnaire ! »
Lauréat 2020 du Prix de la Page 111, cet écrivain de Châlons-en-Champagne décuple notre espérance de vie, le temps d’une utopie où l’on pourra « guérir de tout » en choisissant le jour de son décès après cent, cinq cents ou mille ans d’existence.
Et si l’administration publique était équipée de « pompes » réglées sur l’énervement de ses usagers ? C’est l’invention brillante de cette étudiante du master de création littéraire du Havre, qui entend « recycler » nos colères face aux délais d’attente délicieusement longs.
Cette écrivaine, agronome et permacultrice parisienne sème des graines comportementales (et de la roquette) pour un avenir où notre empreinte carbone sera « divisée par quatre », et où « l’oppression des femmes et l’oppression des sols auront concomitamment cessé ».
Auteur d’un roman sur le cyberharcèlement et la misogynie « incel », cet écrivain et éditeur parisien rêve de remodeler les réseaux via une éthique de patience et de transparence, pour mieux libérer les paroles et faire circuler les savoirs.
Autrice d’un stimulant premier roman d’heroic fantasy, cette écrivaine parisienne supprime pour toujours la rentrée au profit de quatre semaines d’ermitage individuel obligatoire à dimension « salvatrice », pour apprendre à « voir en soi-même la réalité crue »
Cette étudiante du master de création littéraire du Havre imagine de grandes distributions municipales de « kits de souvenirs heureux », qui dégénèrent hélas en « épidémie » de « soirées clandestines » entre « ahuris ».
Alerte ! Perché dans les Landes, cet écrivain-voyageur, qui traversa l’Europe de l’Est à pied ou en kayak, règle nos antennes sur un avenir beaucoup plus connecté à la nature, où les amendes seraient payées « avec des cacahuètes ».