Pop Corn
Élégie enthousiasmante de la culture queer ou joute théologique déguisée en film d’horreur, les sorties de la semaine montrent leur culte.
Biopic en pièce détachées d’une star de la pop ou assemblage de puzzle psychologique d’une actrice, deux portraits aussi singuliers qu’attachants.
Pendant que la Corse prend le maquis pour raconter ses gangsters, Hollywood restreint l’accès à l’arène de son nouveau péplum.
Fable gore sur le vieillissement ou immersion documentaire d’une bourgeoise chez les smicards usés jusqu’à l'os, le cinéma engagé prend littéralement corps.
Pendant que Clint Eastwood dégaine pour une probable dernière fois, un nouveau venu renouvelle la rengaine du cinéma muet
Biopic prenant trop de raccourcis ou remake périmé, cette semaine au cinéma, on connait trop la chanson…
En Arabie saoudite, le cinéma progresse. Comme le pays ?
Film qui roule des mécaniques ou chronique plus modeste, L’amour ouf et Barbès, little Algérie se rejoignent comme autoportraits en creux de leurs réalisateurs.
Deux égo-trips pour ce mercredi, l’un toute en folle démesure , l’autre plus bric-à-brac intime…
Au menu ciné de la semaine : de la basse Bretagne et de l’Iran profond.
Coté ciné cette semaine, le « presque » retour de Tim Burton et un John Wick made in India.
La rentrée 2024 va être chargée pour Noémie Merlant. Entre le rôle-titre du remake d'Emmanuelle, qui sort à la fin septembre et en décembre sa seconde réalisation Les femmes au balcon, l'actrice confirme un goût pour les projets hors-normes. Il était logique du coup que L'étrange festival lui propose une carte blanche. Elle revient sur ces choix, comme sur elle, au micro de Nova.
Au menu ciné de cette semaine, un ippon pour l’Iran et les festivités de L’étrange festival.